Le paradoxe du thérapeute qui pèse lourd dans sa démarche de prospection et finalement, dans l’avenir de son activité même.
Pour écouter le podcast : https://youtu.be/gpa-somRp1o
Le terme patient renvoie aux praticiens reconnus par l’Etat comme les :
? Psychologues
? Psychiatres
? Médecins généraliste…etc.
Ce terme est en quelque sorte apposé d’un copyright de l’Etat, quiconque thérapeute voudrait en user dans sa communication se ferait lapider pour « exercice illégale de la médecine »
Le thérapeute est tiraillé par deux impératifs simples :
? On est thérapeute et on aide les gens à aller mieux.
?On est un entrepreneur et on doit être financièrement indépendant.
Le plus souvent, le thérapeute en thérapie brève choisi sa discipline par passion. Son expérience personnelle ou son ouverture d’esprit l’a amené à se former et à se lancer dans le métier de praticien en thérapies brèves (l’hypnose, la sophrologie, PNL..etc).
Au cours de sa formation et de l’exercice de son discipline, il voit concrètement les bénéfices .
Il voit que ça marche !
Il est dans une relation d’aide et d’accompagnement. Le coté financier vient après.
Ce paradoxe a une conséquence directe sur le succès du cabinet ou du moins dans l’indépendance financière du thérapeute.
- S’il choisi d’être dans une logique commerciale pure (pressé par les impératifs financiers) :
Sa démarche marketing sera trop franche, et il redoute de perdre sa crédibilité. - Il a peut de trahir ses valeurs…Et le problème du tarif de la consultation l’hantera…
S’il est dans une logique pure d’aide, sans tenir compte (ou très peu) de l’aspect financier, il ferma boutique au bout de quelques mois…
? Vos commentaires en bas sont les bienvenues, partagez votre ressentis, votre expérience…