La plupart des thérapeutes ne vivent pas de leur pratique, du moins pas pleinement ! Ils cherchent constamment des moyens d’obtenir plus de clients et de gagner plus d’argent.
Ah l’argent…Ce truc qu’on déteste tant on l’aime…
Comment ta vie changerait-elle si vous tu n’étais pas obligé-e d’avoir un autre emploi pour ne pas abandonner ton métier-passion ?
Tu aurais peut-être plus de temps à consacrer à ta famille, tu pourrais plus voyager, te former plus, ou simplement avoir plus de temps libre pour toi.
Je sais, pour certain-es, cette phrase semble trop lumineuse, trop brutale, « too much » !
Penses y un instant.
Un cabinet prospère, c’est un cabinet qui repose sur deux principes fondamentaux et liés :
- Un alignement impeccable avec ta valeur la plus profonde, la plus encrée. Celle qui représente ce fil directeur dans ta vie. Celle qui t’a sortie de l’ombre, de la souffrance et t’a amené à ouvrir les portes de ton cabinet.
- Assez de consultants pour vivre confortablement (si tu penses que c’est « capitaliste » de vivre confortablement, faudrais revoir certaines choses).
Ne serait-ce pas formidable si tu pouvais – aujourd’hui – te concentrer sur le plus d’impact que tu opères dans la vie de tes consultants au lieu d’être assis-e tous les jours devant ton ordinateur à te gratter la tête et en te posant cette question : comment font les autres ?
Je vais te faire une confidence.
La réussite ne tient jamais au seul facteur matériel/tactique.
La réussite d’un cabinet de thérapie est à 99% basée sur TA SINGULARITÉ !
On t’a toujours dit qu’il fallait être soi. Certes.
L’es-tu vraiment aujourd’hui ?
Tu pourrais te dire : quel rapport avec être soi-même ?
Tout est lié à cette question fondamentale.
Comment espérer attirer les bonnes personnes si l’on est paumé, confus ?
Si le « signal » que l’on envoie au monde est empreint de peur, d’indécision, de confusion.
Cette confusion n’est pas le fait d’un manque de stratégie, mais d(un manque de FOCUS, un désalignement de soi. Ce désalignement produit des stratégies contradictoires et pour le coup, inefficaces et frustrantes !
Tant que ton bonheur et tes ambitions sont encore « too much », tu saboteras toute tentative d’atteindre ce « too much » qui n’a rien de « too » en vrai.
Hier dans un coaching collectif, deux thérapeutes ont dit la même chose : « J’étais confuse, y avait un truc qui ne tournait pas en rond, j’étais désalignée et tous mes RDV s’annulaient l’un derrière autre et quand je me suis ré-alignée, les rendez-vous ont repris… »
Ce n’est pas du vaudou, ni une quelconque philosophie dégénérée : c’est LA VIE !
On attire quand on devient aimanté…attirant. C’est presque physique !
Un aimant attire parce qu’il est aimanté. Point.
Et un aimant ne se comporte pas comme une pelote de laine ou un verre de mojito !
La solution du coup ?
Eradiquer le « too much » de ton discours intérieur.
Rien n’est de trop pour créer une réalité qui nous ressemble, dans laquelle on s’élève avec nos consultants vers l’épanouissement, la liberté intérieure, la libération de la souffrance.
Accepter qui on est, totalement, nous permet de voir toutes les ressources dont on dispose et que l’on continue à voiler, comme par peur d’être dans ce monde.
Un thérapeute doit prendre sa place dans un monde chaotique, où la souffrance devient la norme et les pollutions de tous genres s’intensifient (alimentaires, relationnelles, professionnelles…).
Eradiquer le « too much » de son être, c’est assumer pleinement de le faire pour ses consultants.
D’ailleurs, comment être cohérent-e et légitime à guider ses consultants vers la délivrance si nous-même nous sommes embourbé-es dans nos doutes et nos limites ?
Dis-moi en commentaire si tu trouves qu’être un thérapeute prospère sonne « too much » à tes oreilles intérieures.